«L'antiquité a cela de commun auec la renommée, qu'elle se cache dans les nuës, ou si elle se laisse voir, ce n'est que par des especes confuses, & en la mesme sorte que les obiects qui sont fort esloignez, paroissent à nos yeux. De tant de choses, dont elle auoit voulu informer la posterité, les connoissances nous en viennent si foibles, & si imparfaites, qu'elles ne font que nous laisser des doutes, pour des resolutions.»
Observations sur un livre intitulé Philippes le prudent, fils de Charles de Quint, verifié Roy legitime de Portugal, des Algarues, des Indes & du Bresil composé en latin par D. Iean Caramuel Lobkovvitz, religieux de l'ordre de Cisteaux, Docteur de Louvain, & Abbé de Melrose.
Antuérpia-Paris, 1640 (p. 131)
Este excerto retirei-o de um livro publicado em Antuérpia e Paris, em 1640, antes da Restauração, como se percebe com clareza. Sem indicação de autoria, apresenta-se como comentário à publicação em 1639 do "Philippus Prudens" de Caramuel Lobkowitz, o grande teórico das teses espanholistas.
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